A la nuit tombée, en quatre il plia son cœur,
Et d’un geste bien huilé, dans sa poche le rangea, rageur.
Il l’avait d’abord soldé, mais personne ne s’était présenté.
Puis il a voulu le donner, mais le silence toujours, fut observé.
Non ce n’était pas encore cette fois, qu’il pourra toucher du doigt,
Ce moment tant attendu, auquel il ne croit presque plus.

A la nuit tombée, c’est une journée qui s’achève,
Le moment de fermer les yeux, d’entrer dans le monde des rêves,
L’endroit où il est le plus heureux , là où il peut vivre une vie à deux.

. (Ap4)